Il est clair qu’une opération de croissance externe est plus difficile que la croissance organique ; pour résumer, une acquisition prend du temps (surtout au dirigeant), de l’énergie et c’est cher.
Il s’agit donc dune étape cruciale pour la vie de votre entreprise.
Faites-vous accompagner, d’autant que la croissance externe n’est pas si facile ; il y a plusieurs étapes, dont chacune requiert des compétences particulières et du savoir-faire, comme le précise le paragraphe suivant.
Comme indiqué précédemment, le ciblage et l’approche constituent des tâches clés, qui prennent du temps et demandent quelques qualités.
D’expérience, il est rare de réussir une croissance externe quand on n’a qu’une seule cible en ligne de mire. Nous proposons en général de bâtir une liste réduite de « bonnes » cibles, qui peut d’ailleurs évoluer au fur et à mesure de la mission.
Puis nous pouvons les contacter de manière neutre et en toute confidentialité.
L’analyse financière des cibles identifiées est indispensable, avant même de les approcher. Mais le facteur humain, la stratégie, les choix techniques peuvent être autant de « pièges » qu’il faut aussi aborder de façon objective et neutre, pour éviter le risque des « coups de cœur ». Nous proposons donc une phase de préparation, qui va augmenter les chances de succès de l’opération.
En parallèle, vous devez aussi penser au mode de financement de votre acquisition.
La phase de négociation commence … dès le 1° rendez-vous avec le dirigeant de la cible. Il faut donc avoir déjà réfléchi en amont au calendrier prévisionnel, à la valorisation, aux économies d’échelle, mais aussi, et nous insistons, au volet humain de l’acquisition, tant au niveau des équipes opérationnelles (intégration, synergies, doublons éventuels) que du dirigeant de la cible (selon les cas).
D’expérience, une intégration qui traîne a moins de chances de réussite ; d’où l’importance des fameux « 100 premiers jours ».
Une croissance externe mal préparée ou mal exécutée peut se révéler dangereuse pour une entreprise. Nous sommes là pour vous éviter de tomber dans les pièges les plus fréquents, tels que :
Il faut être conscient de ces risques pour bien s’y préparer et les éviter, afin d’assurer le développement de votre entreprise. On dit souvent que la 2° opération de croissance externe est plus facile que la 1° ; d’ailleurs, certains dirigeants prennent finalement goût à la croissance externe !