Actuellement, en France le taux d’échec des start-ups est de 90%. Pourtant, créées par une population composée en majorité de niveau Bac+5 et plus, normalement formée pour avoir les compétences et qualifications nécessaires pour anticiper les risques.
Bruno Bonnell se demande alors quelles sont les raisons de ces échecs. Trop souvent rapporter à un manque de financement, alors qu’il existe aujourd’hui un panel d’aides, de subventions et autres. Parfois, n’est-ce pas l’entrepreneur qui en est la principale cause ? De la conception d’une solution, d’un produit jusqu’à sa vente, l’entrepreneur doit avoir anticipé ses évolutions (sa maintenance, les améliorations qu’il va pouvoir effectuer…).
La capacité de l’entrepreneur à avoir des perspectives d’avenir va in fine rassurer les investisseurs, ce qui pourra garantir son financement.
Dans cet article (rédigé parBruno Bonnell) nous retrouverons les principales raisons de ces échecs et leurs solutions, notamment dans les secteurs du logiciel et de la robotique.
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